misnie a écrit:Je suis actuellement commerçante en nom propre. Je tiens une maison de la presse, et je n'arrive plus à faire face aux factures et suis toujours à découvert à la banque.Je ne suis pas en retard de remboursement pour le crédit ni pour le loyer du magasin mais pour toutes les autres factures. Que dois-je faire, dois-je demander le redressement judiciaire tout en sachant que j'ai une maison en cours de remboursement qui ne fait pas l'objet d' acte d'insaisissabilité.
Je vous invite à prendre RDV avec les services de la Chambre de Commerce pour exposer votre problème et analyser sur des documents comptables la situation économique du moment de votre entreprise ?...C'est à partir de cette analyse qu'il vous sera conseillé telle option ou procédure à mettre en place, plus dans votre intérêt que celle de vos créanciers.
Pour vous permettre une analyse personnelle sur les différents modes opératoires, je vous invite à cliquer
dans ce lien :
guide-mandataire/entrepreneurs-vous-croyez-pas-seuls-t4384.html avec la chambre de commerce
Retenez ceci, la Chambre de Commerce et ses "Ambassadeurs" ne sont pas là pour vous conduire en "enfer" où dans un lieu expiatoire , mais bien au contraire, face à votre situation du moment, vous proposer la solution la mieux adaptée...En clair , vous accompagner au mieux de vos intérêts et si cela est possible sauver votre entreprise.
Savez-vous, pourquoi ce que j'affirme n'est pas partagé par beaucoup de gens, qui ont été confrontés à cette dure réalité ?...Parce qu'ils ignoraient ce qui précède .
Tenez-nous au courant du résultat de vos démarches et surtout
agissez immédiatement en apportant un dossier complet comptable, bail, les impayés etc...faites un double de ces documents et ne vous dessaisissez pas des originaux.
A très bientôt le plaisir de vous lire...
Bien courtoisement vôtre.
@ndré CROCHON
P.S. : : Si vous réussissez à redresser la "barre" , précipitez-vous chez votre notaire pour lui demander de rédiger l'acte d'insaisissabilité, le coût en est très réduit de l'ordre d'environ (200 €) deux cents euros, il n'y à pas lieu de s'en passer surtout au regard de la protection qu'un pareil contrat vous procure..
Attention, cette disposition ne s'applique que pour les artisans et commerçants en nom propre.